Journal d'Olivia, 30 avril 1999, Good bye Canada
" Après deux jours fabuleux passé à Quebec, il était temps pour nous de faire nos bagages et de quitter le Canada. Notre prochain stop, Boston, nous ramenerais dans le pays d'Oncle Sam.
Dieu sait pour quelle raison, Florent ne voulait pas prendre le poste de copilote pour rentrer aux Etats-Unis. Céline qui ne faisait pas confiance a Jean-Louis seul au poste de conducteur conseillait que quelqu'un prenne la place de Florent. Personne n'était motivé. Jean-Louis sur un coup de tête avait donc décidé que je serais son co-pilote.
L'orientation ne faisant pas parti de ma liste de talents, je m'auto-donnai la tâche de DJ et mis ma cassette de Savage Garden, qui tournerais en boucle jusqu'à Boston. Cela ferait aussi office de punition pour Florent le déserteur qui ne surpportait pas "cette musique de tapette";
Arrivé à la frontière americaine, un agent de la police des frontières nous injoncta de descendre de véhicule et montrer nos papiers. Les vans fûrent controlés et nous sortîmes nos passeports. Puis tout à coup, ce fût le drâme. Mar'o ne retrouvait plus son passeport. Elle ne savait plus où il était. Ayant souvent changé de chambres et de vans, elle ne pouvait plus dire où elle l'avait vu pour la dernière fois.
La situation se prolongeait et notre groupe dût poireauter à la frontière 2h avant que le délégué de l'ambassade de France ne vînt débloquer la situation"
Dieu sait pour quelle raison, Florent ne voulait pas prendre le poste de copilote pour rentrer aux Etats-Unis. Céline qui ne faisait pas confiance a Jean-Louis seul au poste de conducteur conseillait que quelqu'un prenne la place de Florent. Personne n'était motivé. Jean-Louis sur un coup de tête avait donc décidé que je serais son co-pilote.
L'orientation ne faisant pas parti de ma liste de talents, je m'auto-donnai la tâche de DJ et mis ma cassette de Savage Garden, qui tournerais en boucle jusqu'à Boston. Cela ferait aussi office de punition pour Florent le déserteur qui ne surpportait pas "cette musique de tapette";
Arrivé à la frontière americaine, un agent de la police des frontières nous injoncta de descendre de véhicule et montrer nos papiers. Les vans fûrent controlés et nous sortîmes nos passeports. Puis tout à coup, ce fût le drâme. Mar'o ne retrouvait plus son passeport. Elle ne savait plus où il était. Ayant souvent changé de chambres et de vans, elle ne pouvait plus dire où elle l'avait vu pour la dernière fois.
La situation se prolongeait et notre groupe dût poireauter à la frontière 2h avant que le délégué de l'ambassade de France ne vînt débloquer la situation"